jeudi 10 décembre 2015

lutte contre l'insalubrité à Goma: la mairie relocalisé le parking de taxi bus


Le parking de bus au rond point Rutshuru à Goma à été relocalisé vers le marché Kahembe. C’est une décision de la Marie de Goma.

Cette décision du Maire de Goma est saluée par les tenanciers des maisons de commerce situé sur le Boulevard Nyamwisi, notamment aux environs du Rond point Rutshuru. Plusieurs d’entre eux estiment que Malere Mamitcho a remis de l’ordre en déplaçant ce parking pour un autre lieu car cela contribue à la propreté de la ville.

D'autres commerçants par contre estiment que les policiers de circulations routières déployées sur place pour traquer les contrevenants, semblent ne pas maîtriser la teneur de cette décision. Ils accusent ces hommes en uniforme de tracasser les clients qui garent les véhicules devant leurs boutiques.

Les chauffeurs des leurs coté pensent que kahembe c’est loin  et qu’ils ne trouvent pas des passagers
Le déplacement de ce parking vers un autre site est une décision prise par le maire de Goma il y a quelques jours dans le cadre de la lutte contre l’insalubrité dans la ville.

jeudi 3 décembre 2015

jolie coup de filet de la police nationale congolaise

"Les éléments de la police nationale congolaise et des FARDC ont reçu à mettre la main sur l’un des présumés voleur de l’argent destiné au paiement des enseignants de la chefferie Bashali dans le territoire de Masisi le week end dernier.

Selon les sources policières, une mission conjointe FARDC et Police de garnison de Goma a mi la main sur un certain N’SENGIYUM’VA WILSON alias TOTO, la nuit du 30 novembre au 1er décembre vers 4 heures du matin  à Kilolirwe, dans la localité Nyamitaba, groupement Bashali Kahembe dans le territoire de Masisi au Nord-Kivu à l'Est de la république démocratiquement du Congo.

Ce présumé voleur, un ancien, élément du M23, avait sur lui un sac de 5O kgs rempli de billet de banque dont le montant est évalué à douze millions sept cents cinquante mille francs congolais. Il était hébergé à Kilolirwe par un ancien élément du M23 ajoute notre source. La population qui salue la bravoure des éléments des FARDC et de la police nationale congolaise attend de la justice la mise au claire de cette affaire.

Le  présumé N’SENGIYUMVA WILSON alias TOTO, fait parti des réseau des gangsters qui on braquer le samedi dernier une somme d’argent de 125 millions de Franc congolais destiné à la paie des enseignants. Et ce braquage avait coûté la vie à un élément de la police nationale congolaise et deux autres blessés.

samedi 28 novembre 2015

les enfants et la justice


        Certains enfants  qui commettent de manquements assimilés aux infractions  à Goma sont déferrés  devant  les instances judiciaires. Des lors ils s’appellent  enfants   en conflit avec la loi. La loi portant protection de l’enfant en son article 99 stipule que : « Le tribunal pour enfant est le seul compétant pour connaitre des matières dans lesquelles se trouve impliquer l’enfant en conflit avec la loi. » Wilfrid SUMAILI KANYONGOLO, président du tribunal pour enfant de Goma  donne les raisons qui font  que son instance décide de placer  ces enfants à l’établissement de garde  des  enfants EGE.    « Il y a deux catégorie d’enfants qui peuvent se retrouver devant le juge pour enfant. Il y a un enfant  en conflit avec la loi et un enfant en situation difficile. Je commence par le premier un enfant en conflit avec la loi c’est celui qui a freiné les principes de la loi. C’est le cas par exemple d’un adulte qui commis une infraction là il est poursuivi par le parquet et ce pareil pour un enfant là on ne dit pas qu’il a commis une infraction mais un manquement qualifié  d’infraction par la loi pénale, l’enfant peut voler en tout cas il est fautif c’est un manquement, l’enfant qui a violé un autre ou une autre enfant c’est le cas de viol pour enfant ces enfants peuvent être déférés  devant nous et classés  dans l’établissement de garde des enfants. Un enfant qui a pris les choses qui ne lui appartient pas en utilisant des manœuvres frauduleuses ce que nous disons ‘escroquerie’ et il cherche de s’approprier la chose».
        A l’audience du lundi 23 novembre 2015, les parents de certains enfants y ont marqué leur présence. C’est le cas du prénommé Henriette habitant du quartier Ndosho venu  visiter son enfant de 16 ans gardé  à l’EGE depuis quelques jours. Ici elle explique les causes de la détention de son enfant : «mon fils s’était disputé avec sa belle sœur, on l’avait amené au parquet et c’est le parquet qui l’avait transféré ici depuis samedi  on dit que mon fils avait frappé sa belle sœur quand elle était venu à la maison à mon absence  raison pour laquelle  il est en prison ».
      Un autre parent que nous avons trouvé au tribunal pour enfant c’est Sarah de Kiziba 2 une entité qui est à  cheval entre le territoire de Nyiragongo et la ville de Goma  dit que  le dossier de son enfant a été clôturé après un mois et demi passé à l’EGE. Elle a eu elle aussi le courage de nous dire ce qui était  arrivé à  son  fils  de 5ème année secondaire :
 « Mon fils est incarcéré ici ça fait un mois et demi mais il a déjà été libéré. Mais je n’entends que sa sortie de la prison. On m’a donné un rendez vous pour aujourd’hui. Il a 16 ans. Il était accusé d’avoir commis un viol mais quand la fille est venue témoigner, elle a  dit qu’elle n’était pas violé mais par contre c’était une convention avec son ami. Les choses se sont bien passées je n’entends que sa libération il est en 5ème année secondaire.  » 
      Pour SWEDI BUSHIRI Constantin, un assistant social du tribunal pour enfant de Goma dit que leur rôle est d’accompagner les enfants en conflit avec la loi qui sont à l’EGE. Ici il explique comment les enfants sont accueillis dans leur familles respectives  après la sortie de l’établissement de garde des enfants «il ya des enfants qui sont bien accueillis dans leur famille et d’autres qui ne les sont pas. Dans ce cas  précis, nous rentrons avec l’enfant pour entamer le processus de médiation avec les  parents de l’enfant. Mais cette procédure demande des moyens  car il faut parler avec l’enfant, les parents voire même son entourage. Mais en vrai dire nous échangeons peu avec les parents faute des moyens».
      Au mois de Novembre 2015, l’établissement de garde des enfants comptait  au total 55 enfants qui sont  en conflit avec la loi. En son article 104 la loi portant protection de l’enfance souligne que : « Tout enfant suspecté ou accusé d'un fait qualifié d'infraction par la loi pénale bénéficie, sous peine de nullité de  procédure ».

jeudi 12 novembre 2015

les pêcheurs de Goma en RDC et de Rubavu au Rwanda travail ensemble pour la lutte contre insécurité sur le lac Kivu

                    Les pêcheurs de Goma en RDC et ce de Rubavu au Rwanda, ont de travailler en collaboration pour leurs sécurités sur le lac Kivu. Ils l’ont dit au cours d’un atelier sur la problématique de la gestion du lac Kivu dans la filière de la pêche.
                    Selon le président des pêcheurs de Rubavu, certains pêcheurs ne respectent pas les règlements de la pêche dont le filet approprier, il y a des pêcheurs qui exercent leur métier sans avoir les documents leur autorisant de faire la pêche pour lui le non respect des normes régissant leur travail conduit à l’insécurité des pêcheurs sur le lac Kivu. Pour palier au problème de l’insécurité sur le lac il propose la création d’un réseau qui va le permettre de communiquer  en cas de besoin
                    Pour le président des pêcheurs de Goma, ce sont des personnes armées non autrement identifié qui sont à la base de l’insécurité sur le lac. Par rapport à cette situation il propose  de travailler en collaboration avec ses collègue rwandais
                    De son coté le représentant de l’association des maires francophone a souligné que cet atelier va permettre aux pêcheurs de deux ville de trouver des solutions à la problématique de l’insécurité sur le lac et la réglementation de la pêche entre les deux pays.
                     Il sied de noter que,  40 pêcheurs  de Goma et 31 de Rubavu ont pris part à cet atelier de réflexion organisé par la mairie de Goma avec le financement de l’association de maires francophone.

mardi 27 octobre 2015

FIKIRA ZANGU: dialogue: moyen incontournable dans la gestion des...

FIKIRA ZANGU: dialogue: moyen incontournable dans la gestion des...:                                    le coordonnateur de la pole Institute et et le président du baraza  inter communataire du nord kivu sont ...

lundi 26 octobre 2015

insecurité sur la route Goma-Butembo

               Les usagers de la route Goma-Butembo et la société civile, sont exasperé par la recrudescence de l'insecurité sur cette route. certains d'entre eux ont exprimé leur ras le bol suite à des attaque et des kidnapping régulier enregistrés ces jour ci.
                       c'est chaque week end ou chaque lundi que sur les axes Kiwanja-Mabenga, Mabenga-Rwindi et Rwindi-Kanyabayonga dans le parc de Virunga au Nord-Kivu, que l'on enregistre soit des morts ou des personnes enlevées par les coupeurs des routes. il ne se passe pas une semaine sans qu'un mini bus reliant les deux villes ne soit attaqué. pour le chef de ressort du CIDDHOP une structure de la société civile oeuvrant pour les droits humains, c'est la conséquence de la passivité des services de sécurité. Placide NZILAMBA plaide pour des élément FARDC dans ces zones.
                        les usagers parlent d'une dégradation sérieuse de la situation sécuritaire sur ce tronçon. ils disent na pas comprendre pourquoi le dispositif militaire qui les escortait n'existe plus et l'effectif militaire dans la zone a été réduite. 
                        tous nos effort pour joindre au téléphone le porte parole de FARDC ont été vains




valentine BAENI/ Pole FM/ pole-institute.org  

samedi 17 octobre 2015

dialogue: moyen incontournable dans la gestion des conflits

                                   le coordonnateur de la pole Institute et et le président du baraza  inter communataire du nord kivu sont convaincus  que le dialogue est le moyen dans la gestion ou la résolution d'un conflit. Jean Pierre LINDIRO KABIRIGI et maître Pierre Georges FATAKI se sont exprimé tour à tour à l'occasion de la journée internationale de résolution de conflit ce 16 octobre 2015 à Goma.
                             le président des sages différentes communautés vivant au Nord Kivu a précisé qu'il est important pour les acteurs qui interviennent dans la gestion d'un conflit, de le comprendre et d'identifier sa véritable cause. Pierre Georges FATAKI a souligné que c'est en cela que consiste le travail de son institution qui a eu sur sa table, les conflits des différentes natures géré par le Baraza inter communataire du Nord Kivu.
                             le coordonnateur de pole Institute a souligné aussi de sa part que le travail de son organisation et celui du Baraza la wazee se complètent. Jean Pierre LINDIRO KAABIRIGI a déclare que Pole Institute a gérée certains conflits avec succès.
                             malgré le caractère conflictuelle de fonction de certains institutions, groupes ethniques et entités de la province du Nord Kivu, aucune activité officielle n'a été organiser pour commémoré cette journée.





valentine  Baeni /www.pole-institute.org /

       

jeudi 15 octobre 2015

La société civile et les partis politiques se pronocent sur la démission du président de la CENI

                      la classe politique et la société civile de coma attend avec impatience ma désignation du nouveau président de la commission électorale nationale indépendante mais différemment. certain politiques de l'opposition pensent que le prochain président de la CENI doit être un membre de l'église catholique. c'est que confirme CHRISTIAN BADOSE, chargé de communication de l'Ecidé un parti de l'opposition. selon lui les textes en la matière reconnaissent ce poste comme revenant à l'église catholique.
                      le coordonnateur inter fédéral de la jeunesse du Burec un parti de la majorité présidentiel, souhaite la bienvenue à toute personne qui sera notifier à ce poste. MUMBERE LWANZO ajoute qu'une fois notifié,cette personne doit bénéficier de la confiance de tous comme président de la commission électorale nationale indépendante.
                       le président de la société civil quand o lui souligné que cette nouvelle autorité doit être de la société civile mais de la sous composante de la confession réligieuse.
                      rappelons que pour des raison de santé l'abbé APPOLYNAIRE MALUMALU avait démissionne de la présidence de la commission électorale nationale indépendante le samedi 9 octobre 2015.

Valentine BAENI/POLE FM/www.pole-institute.org